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Les différents types d’arnaques ne cessent de croître sur le territoire français. Que ce soit l’arnaque à la carte vitale, l’arnaque au TPE ou encore l’arnaque à la carte bancaire. Toutefois, ces trois arnaques ne couvrent pas la totalité des arnaques qui se trouvent sur le territoire français. Malheureusement, tous les ans, le nombre de victimes d’arnaques ne cesse de croître également. Il convient alors de connaître les différentes méthodes qui existent. Et ce, afin de savoir comment les éviter. Une nouvelle escroquerie a récemment laissé un couple dans beaucoup de problèmes financiers. D’après leurs témoignages, les malfaiteurs se font passer pour des conseillers bancaires. En faisant ceci, ils gagnent la confiance de leurs victimes. Et ce, avant de se faire virer le montant de l’apport personnel des victimes sur leur compte frauduleux. On vous explique tout ici !
Une arnaque sur des faux crédits immobiliers
Le témoignage d’un couple récent alerte les Français sur une arnaque qui apparaît sur le territoire. Sachez que si vous avez un projet immobilier imminent, il se peut que vous soyez sur leurs radars, des prochaines victimes. En effet, il s’avère qu’une nouvelle arnaque visent les futurs propriétaires. Les banques et les autorités ont alors repéré cette arnaque durant les dernières semaines. Et ce, comme l’ont souligné nos confrères du Parisien. La méthode utilisée pour cette arnaque ne diffère pas trop des arnaques qui existent déjà. En effet, les malfaiteurs se font passer pour des conseillers bancaires. En faisant ceci, ils gagnent leur confiance et les contactent peu de temps après afin de proposer un crédit immobilier. Comme vous l’aurez compris ce crédit immobilier n’existe pas réellement.
La technique des malfaiteurs est simple et leur but l’est encore plus. En effet, ils cherchent principalement à récupérer l’apport personnel des acheteurs immobiliers. Ils appellent des potentielles victimes en se faisant passer pour des conseillers bancaires. Un couple français a récemment témoigné sur leur compte Instagram. D’après leurs dires, il ont souffert grandement de cette arnaque. Les malfaiteurs ont donc réussi à leur dérober 50 000 euros. Et ce, en seulement quelques coups de fil. Il convient alors de rappeler aux Français que l’apport personnel versé lors d’une transaction immobilière doit toujours être viré directement au notaire en charge du dossier.
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Réussir à dédommager le couple
Ce témoignage de la part du couple explique exactement comme les malfaiteurs ont fait pour réussir à dérober 50 000 euros en seulement quelques appels téléphoniques. Il semblerait que l’arnaqueur ait pris l’initiative de se faire passer pour un conseiller bancaire de Boursorama. Une fois que le couple a eu confiance, il a commencé à leur faire des offres de crédit. L’homme a donc accepté l’offre et a commencé à envoyer les documents nécessaires. Et ce, dont son RIB, ses bulletins de salaire et ses papiers d’identité. Le « conseiller » a donc fait croire au couple qu’avec ses documents, il allait mettre en place un crédit immobilier. Il leur a ensuite demandé de virer leur apport personnel sur le compte de la banque Boursorama. Chose qu’ils ont malencontreusement fait.
En règle générale, cet argent doit être envoyé au notaire. Toutefois, le faux conseiller bancaire ne leur a évidemment pas expliqué cette situation et ils sont tombés dans le piège. Depuis, cet argent, 50 000 euros, a disparu. Le couple a donc porté plainte, sans véritable espoir de revoir leur argent. Il s’avère que le directeur marketing de Boursorama a évoqué qu’une levée de fonds avait été lancée. Et ce, afin de tenter de récupérer la somme pour le couple. Nos confrères du Parisien ont expliqué cela après avoir discuté avec ce directeur de Boursorama. Cette banque a tout de même indiqué que ce type d’arnaque « se limite à quelques cas » sur le territoire français. Les autres banques commencent à demander à leurs clients de faire attention également. Et ce, tels que le Crédit Mutuel. D’après les dires de nos confrères de Capital, les banques avertissent leurs clients.
