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Le jeudi 9 février dernier, Yann Barthès recevait l’ancienne Ministre de la Justice, Rachida Dati dans l’émission « Quotidien ». La maire du 7e arrondissement de Paris a évoqué un sujet personnel concernant son enfance. Cette dernière a aussi évoqué sa relation avec Emmanuel Macron et une anecdote surprenante sur Jay-Z et Beyoncé.
Sa relation avec le président de la République
Rachida Dati est un visage bien connu dans la politique. Membres du parti Républicains, elle est assez réputée pour son franc-parler. Sur le plateau de « Quotidien », elle avait parlé de sa relation avec les résidents du palais de l’Élysée.
Celle qui est dans la politique depuis plusieurs années entretient une bonne relation avec la première dame, Brigitte Macron. On ne peut pas en dire autant pour sa relation avec le président de la République. Son commentaire lors de son passage sur TMC a été bien clair.
« Il est président de la République, C’est pas mon pote », a-t-elle indiqué.
La relation entre Rachida Dati et Emmanuel Macron remonte pourtant bien avant que ce dernier ne soit élu président. Les deux se seraient connus grâce à un ami proche de Rachida Dati, un certain Jean-Pierre Jouyet.
« Ça m’est arrivé de le rencontrer, de le croiser plusieurs fois en dînant chez Jean-Pierre Jouyet. Ou ensuite lorsqu’il est devenu ministre de l’Économie », a-t-elle raconté à Yann Barthès.
L’invitée de Yann Barthès a confirmé qu’elle avait « un lien » avec l’exécutif. Toutefois, leurs échanges ne seraient que strictement politiques. D’ailleurs, Rachida Dati a précisé qu’ils ne conversent pas aussi régulièrement.
« On se parle. On parle politique. Je lui dis ce que je pense », a-t-elle répondu avec franchise.
L’élue de droite n’a jamais considéré la question d’intégrer un gouvernement sous le président de la République actuel. D’autant plus qu’Emmanuel Macron ne le lui a jamais proposé.
Des ambiances de brutalité
L’équipe de TMC avait révélé une photo de Rachida Dati quand elle était encore jeune avec sa famille. Cette dernière a alors évoqué son parcours dans la politique. Elle a d’abord parlé de ses expériences dans sa jeunesse.
« Moi, j’ai vécu dans des ambiances de brutalité », a-t-elle confié.
Avant d’ajouter :
« Donc il y a une chose qui m’a toujours habitée, c’est la liberté. »
Rachida Dati plongeait les publics du programme « Quotidien » en se remémorant ses premiers moments. La garde des Sceaux a aussi parlé de ses premières pensées qui l’ont poussé à entrer dans le monde de la politique.
Elle a surtout évoqué son désir d’être libre. Rachida Dati disait qu’elle « ne se renierait jamais ». La conseillère de Paris s’est dite qu’elle ne tournera pas le dos à ce qu’elle a connu.
La conseillère de Nicolas Sarkozy a expliqué que tout ce qu’elle fait dans son combat politique est pour réduire les inégalités. La maire de Paris est visiblement déterminée à réduire les injustices.
Rachida Dati a changé de vie
Au cours de l’émission, Yann Barthès a dévoilé une autre photo à Rachida Dati. Le cliché semblait dater d’une autre période de la vie de la femme politique. Elle s’est livrée à cœur ouvert sur l’époque où elle avait entre 9 ou 10 ans. Rachida Dati se souvient très bien où elle était.
« Je me vois face à une scène très éprouvante et je me suis dit : ‘Dans tous les cas, il y a quelque chose que je changerai, il se passera quelque chose dans ma vie », a-t-elle raconté.
Rachida Dati n’aurait jamais coupé avec sa famille ni avec son milieu d’origine. Elle a pourtant précisé qu’elle a changé de condition. Celle qui est née dans une fratrie de 11 enfants a « changé de vie ».
Au cours de l’émission, la mère de Zohra a raconté une anecdote sur sa rencontre avec Beyoncé. Elle aurait croisé la chanteuse et son mari Jay-Z dans le Thalys. Yann Barthès lui a alors demandé comment était la star américaine.
Ce que Rachida Dati a répondu n’a pas manqué d’amuser le plateau du « Quotidien ». Elle a avait dit que Beyoncé était « plus ordinaire en vrai ». Avec humour, elle a ajouté que même Jay-Z ressemblait à son cousin.
« Même Jay-Z… Il ressemble à mon cousin. Franchement, c’est mon cousin, Abdellah. »