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Le journaliste Vincent Vantighem a partagé ce mardi 28 février dans Le Dej de l’info sur BFMTV de nouvelles informations sur l’affaire Pierre Palmade. Plus précisément sur la situation financière de l’humoriste de 54 ans qui, selon leurs informations, n’était pas au beau fixe. Pour cause, après avoir rappelé que le comédien percevait environ 5 000 euros par mois de royalties, nos confrères ont alors estimé le train de vie de ce dernier à près de 6 000 euros par mois.
Pierre Palmade : les révélations de sa soeur
Depuis quelque temps, le nom de Pierre Palmade est partout dans les médias. Pour rappel, l’humoriste a causé trois blessures graves et la mort d’un bébé à naître de sept mois. Il a percuté un véhicule en Seine-et-Marne après avoir consommé de la cocaïne le 10 février 2023.
La sœur de Pierre Palmade a également été entendue par les enquêteurs sur cette affaire. Face aux enquêteurs, elle a soulevé le voile sur la lourde dette qui pèse encore sur les épaules de son frère.
« Dans le cadre de ce dossier, la sœur de Pierre Palmade a également été interrogée. Elle a révélé aux enquêteurs que son frère était lourdement endetté. Qu’il vivait en dehors de toute réalité financière et qu’il avait des dettes notamment auprès de l’URSSAF, des impôts et de son producteur […] estimées à 250 000 euros », a rapporté le journaliste police justice.
Pierre Palmade : il a refusé d’être placé sous tutelle
Toujours sur le plateau de BFMTV, Vincent Vantighem a alors confié aux enquêteurs de nouvelles déclarations faites par la sœur de Pierre Palmade.
À en croire les informations révélées, notre confrère a alors raconté que devant la situation financière catastrophique de son frère. La sœur de l’humoriste a alors compris pourquoi il souhaitait mettre en vente sa maison de Cély-en-Bière.
La jeune femme s’est même demandée si l’acteur allait être en mesure de conserver son appartement parisien. Ce n’est pas tout ! Sur les addictions de Pierre Palmade aux drogues de synthèse.
Sa sœur – « qui s’occupe de lui depuis 2017 dans la suite de sa mère »
Explique alors aux gendarmes qu’elle a déjà proposés, par le passé, de le placer sous tutelle. Une proposition que le principal intéressé a refusée.
L’humoriste ira-t-il en prison ?
Depuis la nuit de l’accident, l’ami de Muriel Robin est visé par deux autres enquêtes en parallèle. Celle pour :
« Infraction à la législation sur les stupéfiants »
A été confiée à la gendarmerie. Et la seconde pour des soupçons de « détention et diffusion d’images pédopornographiques » par l’humoriste. Celle-ci a été confiée à la Brigade de protection des mineurs (BPM).
C’est un coup dur pour Pierre Palmade. Et selon les informations, ce n’est qu’une question de jours pour lui avant d’écrouer ses peines en prison. En effet, placé en détention provisoire depuis ce lundi 27 février 2023 pour :
« Homicide et blessures involontaires aggravés », l’humoriste de 54 ans ira bien en prison.
Hospitalisé dans le service de neurologie de l’hôpital du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne) après avoir subi un accident vasculaire cérébral samedi 25 février 2023, son transfert à la prison de Fresnes est pourtant remis en question.
Pierre Palmade, malade
Dans la nuit du samedi 25 février, Pierre Palmade a été victime d’un accident vasculaire cérébral. Quinze jours seulement après l’accident de voiture dans lequel il était impliqué. Depuis, l’affaire a pris une tournure inattendue.
Dans un communiqué de presse, publié par Le Parisien, le procureur de la République de Melun a répondu aux questions sur la compatibilité entre son état de santé et les conditions de détention.
Jean-Michel Bourlès assure que le mandat de dépôt a :
« Été exécuté dans la foulée de la décision de la chambre de l’instruction de Paris ».
C’est donc depuis son lit d’hôpital que Pierre Palmade a été écroué. Dès que les médecins le permettent, le transfert de Pierre Palmade sera effectué.
Pour l’heure, le chambre de l’humoriste fait :
« L’objet d’une garde par des surveillants ».
Les médecins décideront ensuite si l’ex-époux de Véronique Sanson sera :
« Envoyé directement en détention classique ».
Une autre solution pourrait être envisagée en fonction de son état de santé. Le transfert vers :
« L’unité hospitalière sécurisée interrégionale (UHSI) de la Pitié-Salpêtrière, à Paris ». L’unité en question « reçoit les détenus de Fresnes nécessitant des soins pour des pathologies graves ».
Ou alors, Pierre Palmade pourrait être admis à l’aile médicalisée de Fresnes. Ce dernier est
« Un espace où l’on prend en charge les prisonniers pour des soins plus légers, type post-opératoires ou rééducation ».