Cyril Hanouna est en vacances, mais ça n’empêche pas que TPMP continue tous les jours. Pendant son absence, c’est Benjamin Castaldi qui prend les rênes de « TPMP même l’été ». Ainsi, ce mardi 28 juin, les chroniqueurs balançaient les salaires des stars de la télévision et surtout celui des candidats de télé-réalité. Magali Berdah, agent de star de télé-réalité, présentatrice et chroniqueuse télévisée française, était présente sur le plateau. Les sommes de ces salaires, mirobolantes, varieraient de 20.000 euros par mois à jusqu’à 350.000 euros pour les influenceurs les plus suivis. Se lancer dans la télé-réalité semble être une véritable machine à sous !
Star de télé-réalité, on en parle ?
Lors de l’émission « Touche pas à mon poste », de retour ce mardi 28 juin 2022, des révélations assez interessantes ont fusé. Parmi les chroniqueurs présents sur le plateau pour cette émission en direct, la souveraine de la télé-réalité, Magali Berdah, était autour de la table !
Ainsi, mettant sur le plateau un sujet qui fâche, le salaire d’une star de télé-réalité, le célèbre agent a d’abord commencé par les influenceurs qui gagnent beaucoup d’argent grâce notamment aux placements de produits. « Ils peuvent ramener beaucoup, beaucoup, beaucoup d’argent à des marques. Ils font travailler beaucoup de gens, ça fait développer des entreprises. Tout le monde travaille pour gagner de l’argent, il ne faut pas être hypocrite, il faut dire la vérité. Bien évidemment ça a rapporté de l’argent. » argumente-t-elle.
« Ce métier, il faut le professionnaliser »
Le business et les salaires des stars de la télé-réalité. #TPMPEte pic.twitter.com/MutThoZ4vp
— TPMP (@TPMP) June 28, 2022
En effet, notons tout de même que c’est l’agence Shauna Events, l’entreprise de Magali Berdah, qui gère les placements de produits de la majorité des candidats célèbres ! Et, osons le dire, certains visages célèbres du divertissement réalisent des profits plus qu’incroyables chaque mois !
Elles s’appellent Nabilla, Astrid, Thomas, Jazz, Julien, Maddy ou encore Sarah Fraisou. Les aventures télévisuelles des stars de télé-réalité sont suivies par de très nombreux jeunes. Et surtout leurs comptes Instagram fédèrent un nombre incalculable de followers. Oui le métier de star de télé-réalité, que beaucoup dénigrent, brasse plusieurs centaines de milliers d’euros par mois.
Star de télé-réalité, salaires mirobolants !
Au mois de mars dernier, Cyril Hanouna avait dévoilé les 10 plus gros salaires de la télé-réalité. À la première place, on retrouve Nabilla qui gagnerait environ 350 000 euros par mois. En top 3, on retrouve Maeva Ghennam qui toucherait entre 150 000 et 200 000 euros par mois. Ensuite viennent Jessica Thivenin et Thibault Garcia, en position 2, avec 300 000 euros par mois. En cinquième place, on retrouve Jazz et Laurent qui gagneraient entre 120 000 et 200 000 euros par mois. Carla Moreau et Kevin Guedj sont en position 6 et toucheraient entre 100 000 et 120 000 euros. Sur la dernière place du classement, on retrouve Paga qui gagnerait entre 30 000 et 50 000 euros par mois.
Nabilla, Jazz Correia, Maeva Ghennam… Les salaires mirobolants des stars de télé-réalité dévoilés https://t.co/UnYjmUygJt
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Lors de l’émission du 28 juin, Benjamin Castaldi balance à nouveau du lourd !
« On parle de 30, 50, 100, 200, 300 000 euros par mois. On me dit à l’oreillette que parfois, c’est beaucoup plus », déclare-t-il en faisant référence au salaire des candidats de télé-réalité les plus populaires du petit écran.
Magali Berdah qui affirme quand même que les salaires des stars de télé-réalité ont baissé depuis quelques temps tient à argumenter les avances de Benjamin Castaldi. « Attention, c’est un pannel. Sur 500 ou 1000 candidats, il y en a peut-être 10-15 qui gagnent beaucoup et tant mieux pour eux. Et puis c’est éphémère, il y a peut-être un top 5 où ça va rester pendant des années. » rétorque-t-elle.
« Ils ramènent beaucoup d’argent à des marques, ils font travailler beaucoup de gens, ça fait développer des entreprises (…). Oui, bien évidemment, ça a rapporté de l’argent ! Ça a permis à des entreprises de pouvoir bosser pendant les confinements parce qu’il y avait que l’e-commerce qui fonctionnait. », rappelle la chroniqueuse pour justifier les chiffres indécents balancés par Benjamin Castaldi.
